Archives pour la catégorie Activités

BBQ à l’occasion de la fête d’au revoir pour l’abbé Michel, dimanche le 30 juillet

Nous organisons une activité pour souligner le départ de l’abbé Michel en appréciation pour ses 9 belles années parmi nous. Il y aura donc une célébration eucharistique spéciale à la messe de 10 h 30, suivie d’un BBQ. Au menu, hamburger, hot dog, maïs, gâteau, fraises, crème glacée et breuvage. Veuillez apporter vos chaises de parterre. Si vous comptez être présente, présent à cette célébration, on vous demande de vous inscrire sur les feuilles jaunes que vous trouverez sur la crédence sous la statue de la Vierge. Le tout sera gratuit !

Conférences Vivre notre foi aujourd’hui 2016-2017

** Les conférences ont lieu le dimanche après-midi, à l’église paroissiale, de 14 h à 16 h

18 septembre, 2016

Notre-Dame-de-la- Rue : le dealer d’espérance

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Abbé Claude Paradis. Ordonné prêtre en 1997, à 42 ans, il a connu l’enfer de la rue en tant que sans-abri toxicomane. Alors qu’il est séminariste, il visite les jeunes itinérants avec le père Emmett Johns (Pops de Bon Dieu dans la Rue). Après des études en psychologie-toxicomanie à l’Université de Montréal, il exerce un ministère en soins palliatifs en milieu hospitalier, mais il rêve toujours d’apporter le réconfort du Christ aux gens de la rue. Ce rêve se réalise en 2013 avec la fondation de Notre-Dame-de-la-Rue.

16 octobre 2016

Pour une Église libérée, au service de la justice

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Abbé Claude Lacaille. Missionnaire, il a vécu une vingtaine d’années en Haïti, en Équateur et au Chili durant une période tourmentée par les dictatures qui ont dominé dans la région. De retour au Québec, il œuvre auprès du mouvement étudiant, dans les organisations de la jeunesse puis, dans sa ville d’origine Trois-Rivières, il s’implique en solidarité internationale et comme intervenant en soins spirituels dans un CHSLD. Il a publié ses mémoires chez Novalis : En mission dans la tourmente des dictatures.

4 décembre 2016

Non à l’aide médicale à mourir; oui aux soins palliatifs!

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Mgr Noël Simard, natif de la région de Charlevoix, ordonné prêtre le 28 mai 1972, est nommé évêque auxiliaire de Sault- Sainte-Marie le 3 octobre 2008 et évêque du diocèse de Valleyfield le 30 décembre 2011. Avant cela il était professeur de théologie morale et bioéthique (Saint-Paul), pendant 12 ans de sciences religieuses et éthique (Subdury) et, à l’occasion, de théologie morale (Laval et Toronto). Il est membre de l’Académie pontificale pour la vie, de nombreux comités de la Conférence des évêques catholiques du Canada et de l’Assemblée des évêques du Québec. Il est aussi aumônier d’état des Chevaliers de Colomb du Québec.

15 janvier 2017

La Bible dans la vie

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Mgr Terrence Prendergast est ordonné prêtre en 1972. Muni de grades universitaires (Fordham, B.A.); (Toronto School of Theology, M. Divinité et Ph.D. Th.); (Toronto Regis College, L. Th.), il oeuvre en enseignement : Halifax School of Theology, 1975-1981; Toronto Regis College, recteur (1981-1987) et doyen de théologie (1991-1994); maître de conférences Daniel Hannin à l’université de Régina et professeur invité de la Catholic Biblical Association of America à Jérusalem. Puis c’est l’épiscopat : 1995, évêque titulaire de Slebte et evêque auxiliaire de Toronto; 1998, évêque de Halifax et 2007, archevêque d’Ottawa.

19 février 2017

La quête de sens des jeunes d’aujourd’hui

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Miriam Fahmy est analyste, éditrice, animatrice et conférencière en affaires publiques. Elle a œuvré à l’Institut du Nouveau Monde (2004-2014), où elle a occupé plusieurs fonctions, dont celle de directrice de la recherche et des publications. Elle a dirigé une vingtaine d’ouvrages collectifs, dont L’état du Québec. Elle est membre du Collectif pour le renouvellement de la social-démocratie et participe au comité éditorial du magazine Nouveau projet. Elle tient une chronique hebdomadaire au journal Métro de Montréal.

19 mars 2017

L’impact des livres perdus et retrouvés : regards sur un siècle de découvertes de manuscrits

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Serge Cazelais, historien des religions, expert du christianisme ancien et médiéval, a des intérêts variés : théologie mystique, paléographie, littérature grecque et latine de l’antiquité tardive, questions relatives à l’âme, aux récits d’expérience mystique, à l’exégèse allégorique des textes sacrés. Il est chargé de cours en théologie à l’Université Saint-Paul, responsable de la formation des adultes à l’archevêché d’Ottawa. Outre ses travaux universitaires, il écrit pour Aujourd’hui Credo. Il donne des conférences au Canada, en France et aux États-Unis. Il a animé une émission à Radio Ville-Marie.

La paroisse Sainte-Marie vous invite à son déjeuner paroissial pour souligner notre fête patronale

Les Filles d’Isabelle, cercle Sainte-Marie et les Chevaliers de
Colomb, conseil Sainte-Marie organisent un déjeuner pour la paroisse, le dimanche 25 septembre, de 8 h à 13 h 30, à l’école Béatrice-Desloges, au 1999, av. Provence, Orléans.

Menu

  • crêpes
  • œufs
  • saucisses
  • jambon
  • sirop d’érable
  • fèves au lard
  • fruits et breuvages.

Coûts

  • adulte, 8 $;
  • enfant, 4 $ (6 à 12 ans);
  • gratuit pour les 5 ans et moins.

Renseignements et billets

Aline Larabie, au 613-824-3172 ou 613-830-9678
au secrétariat.

Fête des bénévoles

La fête des bénévoles a eu lieu le 16 juin. Le tout a commencé par une messe, à 19 h. Elle a été suivie d’une rencontre où on a dégusté du vin, du fromage et des desserts.

Merci chers bénévoles!
Dans un monde où le temps s’enfuit à toute allure,
dans un monde où l’argent impose sa culture,
dans un monde où, parfois, l’indifférence isole,
les anges existent encore : ce sont les bénévoles.

Ces gens qui, par souci du sort de leur prochain,
prennent un peu de leur temps pour tendre la main.
en s’oubliant parfois, ces gens se dévouent.
ne les cherchez pas loin, car ils sont parmi nous.

Étant fort discrets, ils ne demandent rien,
Ni argent… ni merci…
Tout ce qu’ils offrent, c’est leur soutien.
Cependant, ce qu’ils donnent n’a pas de prix;
rien ne peut l’acheter; c’est une partie de leur vie…
Et c’est bien grâce à eux… si, pour certains
chaque jour est un jour de magie plutôt que de chagrin!

Alors juste pour vous, voici un souhait :
«Puissiez-vous recevoir autant que vous donnez » Anonyme

Pèlerinage à Midland

UN PÈLERINAGE DE RECUEILLEMENT ET D’ÉMERVEILLEMENT

Nous étions une quarantaine de paroissiens à bord d’un autobus affrété par une agence de voyage, nous venions de quitter Ottawa vers l’Ouest de la province, et nous nous demandions ce qui nous attendait au bout de la longue route, dans cette ville de Midland si éloignée d’Ottawa, sur les rives de la baie Georgienne.

C’était un mercredi matin, et nous partions pour un long voyage afin d’effectuer un pèlerinage à Sainte-Marie- au-pays- des-Hurons et au Sanctuaire des Martyrs canadiens. Le trajet devait durer toute une journée avant d’atteindre Midland, et prendre également toute une journée pour le retour à Ottawa. Nous craignions donc la fatigue du voyage et l’ennui d’une longue route.

C’était ne pas connaître notre pasteur, l’abbé Michel, qui avait organisé ce voyage et qui nous accompagnait dans ce pèlerinage. Il avait prévu de nous garder occupés, en nous proposant des jeux, quelquefois amusants mais souvent fort sérieux (sur l’orthographe et la géométrie, imaginez donc!), des quizz sur les martyrs canadiens, et même la projection d’un film à l’aller et un autre au retour. Et il assaisonnait tout cela de son sens inimitable de l’humour, de ses taquineries et de sa proverbiale gentillesse.

Nous n’avons pas tardé à nous dégeler, et les grands éclats de rire qui ont commencé à résonner dans l’autobus étaient le prélude à la camaraderie, à la complicité et à l’amitié qui allaient bientôt nous souder dans le groupe.

Nous ne nous sommes cependant pas contentés de rire et de jaser ; l’abbé Michel nous a fait réciter un chapelet spécial, appelé « le chapelet de la miséricorde », pour rester dans l’esprit de l’Année de la Miséricorde proclamée par le pape François. Dans ce chapelet, le Notre Père et les Je vous salue, Marie, sont remplacés par des invocations spéciales. Ces moments de prière, en route, ont jalonné notre progression vers notre pèlerinage.

À Midland, nous avons vécu une journée d’une grande intensité : journée de découverte, journée de plaisir, mais surtout journée de prière et de recueillement.

Nous avons tout d’abord visité Sainte-Marie- au-pays- des-Hurons, le petit village construit par les jésuites français qui y avaient installé leur mission auprès des Hurons en 1639. Reconstruit quasi à l’identique au 20 e siècle sur les ruines du village jésuite, il nous a donné un aperçu vivant et documenté de la vie qu’y ont menée les pères jésuites et leurs alliés hurons-wendat pendant dix ans, soit au total quelque 70 personnes.

Le village renferme une chapelle, des habitations pour les jésuites et pour les Hurons, des réserves. Il est entouré d’une haute palissade, pour le défendre des attaques des Iroquois. Toute une série de guides, de jeunes étudiants francophones pour la plupart, vêtus d’habits d’époque, contribuent à ressusciter la vie de jadis sur ce site magnifique.

Nous sommes allés ensuite au Sanctuaire des Martyrs canadiens. La grande et belle église qui se dresse en son milieu rappelle le martyr de Jean de Brébeuf, d’Isaac Jogues, de Gabriel Lalemant, et de leurs confrères prêtres, frères ou ‘donnés’, c’est-à- dire des laïcs qui les aidaient dans leur tâche contre le gîte et le couvert.

L’abbé Michel a célébré une liturgie émouvante, en ce lieu où ces grands saints qui avaient amené la francophonie en Ontario et planté les premières graines de l’évangélisation de notre pays, avaient choisi, en toute lucidité, de mourir dans d’horribles souffrances plutôt que de renier ce Jésus à qui ils avaient consacré leurs vies. Et la prière commune des pèlerins est montée vers le Seigneur, pour eux, pour leurs familles, et pour la paroisse Sainte-Marie.

Nous nous sommes promenés, remplis d’émerveillement, dans le site du Sanctuaire. Un magnifique chemin de croix en statues grandeur nature nous a mené vers « l’autel papal », un grand et bel autel dressé au milieu de la verdure, où Jean-Paul II avait célébré la messe devant des milliers de pèlerins lors de sa visite au sanctuaire.

Mais Midland n’est pas seulement un lieu de pèlerinage. La petite ville donne sur la baie Georgienne, et nous avons fait une croisière, en fin d’après-midi, dans ce magnifique paysage d’eau, ponctué d’îles verdoyantes, dans la lumière flamboyante qui ricochait sur les vagues en gerbes éblouissantes de clarté.

Dans l’autobus qui nous amenait à Midland, l’abbé Michel nous a projeté un film français qui avait obtenu un grand succès il y a quelques années. Le film, Des hommes et des dieux, raconte l’histoire véridique de six moines français installés dans un monastère de l’Atlas, une chaîne de montagnes algérienne. En 1995, en pleine guerre civile algérienne qui opposait le gouvernement à un soulèvement islamiste, le monastère se trouve dans la zone de conflits. On supplie les moines de le quitter, par peur pour leur vie. Mais ils décident d’y rester car, estiment- ils, le Seigneur leur avait demandé de servir leurs frères algériens musulmans dans ce lieu éloigné, et ils n’allaient pas les abandonner au moment de l’épreuve.

Les six moines ont ensuite été faits prisonniers par les rebelles et sont morts martyrs.

En revenant de notre voyage, je n’ai pu m’empêcher de faire un lien entre ce film et l’épopée des martyrs canadiens. Dans les deux cas, des hommes qui avaient répondu à l’appel du Christ avaient, en toute liberté, préféré le Royaume de Dieu à la sécurité du royaume d’ici-bas. Ils avaient payé, par la souffrance et par la mort, ce choix. Ils nous avaient prouvé que, pour eux, le message du Christ qui nous exhorte à donner notre vie pour ceux qu’on aime n’était pas un vain mot.

Jean Fahmy

Messe multiculturelle – 2015

En 2014, dans le cadre d’un projet en lien avec son thème de l’année qui portait sur l’accueil, le Comité paroissial de pastorale explorait la possibilité d’avoir une messe multiculturelle à l’automne de cette année. Cette messe nous permettrait d’accueillir et de célébrer notre diversité et, surtout d’en remercier le Seigneur. On proposait une dégustation de mets traditionnels qui seraient fournis par les participants(tes). Donc le 18 octobre 2014 la messe de 17 h était dédiée aux diverses cultures incluant la nôtre. Nous avions douze pays représentés et suite à la messe, nous avons partagé des mets venant de chaque pays. Le but d’accueillir, d’apprendre à connaître et célébrer ensemble avec nos frères et sœurs de diverses origines a été atteint et tous étaient heureux(ses) du résultat. Tellement que l’on demandait de répéter cet évènement annuellement! D’année en année, le nombre de participants(tes) augmente et la nourriture est de plus en plus abondante. Rendons grâce au Seigneur pour cette belle fête !